13, un ludodrame sur Walter Benjamin (avec Carlos Ferrand)
19 novembre 2018 – 17:30-20:00
Dans le cadre de la Semaine de la théorie critique : 13, un ludodrame sur Walter Benjamin
Projection en présence du réalisateur Carlos Ferrand.
De 1933 à son suicide en 1940, Walter Benjamin, chassé par le nazisme, est en exil à Paris. Le « ludodrame » de Carlos Ferrand explore cette période de sa vie dans une forme essayiste et composite qui reflète les multiples facettes de l’œuvre du philosophe. En treize chapitres, le cinéaste rend compte de la personnalité de Benjamin et de la richesse de son univers. On marche sur ses pas dans les passages couverts, on médite au gré de ses fulgurances, on voit le progrès se mordre la queue, on parcourt l’Europe qu’il a tant habitée. Mêlant archives, scènes contemporaines, séquences d’animation ou de marionnettes, le film multiplie fragments et échos pour revisiter l’histoire dans tout ce qu’elle a de non linéaire : l’histoire d’un homme dont le parcours résonne si fort avec l’histoire collective.
—-
Le réalisateur Carlos Ferrand est né à Lima (Pérou). De Lima à Bruxelles, en passant par Paris et le Vermont, il vit plusieurs années de vagabondage, plaçant le cinéma au centre de son parcours. En 40 ans de métier comme scénariste réalisateur, il a également collaboré, en tant que directeur de la photographie, à plus d’une cinquantaine d’œuvres documentaires et de fiction. Il vit à Montréal avec sa famille.
Dans le cadre de la Semaine de la théorie critique : 13, un ludodrame sur Walter Benjamin
Projection en présence du réalisateur Carlos Ferrand.
De 1933 à son suicide en 1940, Walter Benjamin, chassé par le nazisme, est en exil à Paris. Le « ludodrame » de Carlos Ferrand explore cette période de sa vie dans une forme essayiste et composite qui reflète les multiples facettes de l’œuvre du philosophe. En treize chapitres, le cinéaste rend compte de la personnalité de Benjamin et de la richesse de son univers. On marche sur ses pas dans les passages couverts, on médite au gré de ses fulgurances, on voit le progrès se mordre la queue, on parcourt l’Europe qu’il a tant habitée. Mêlant archives, scènes contemporaines, séquences d’animation ou de marionnettes, le film multiplie fragments et échos pour revisiter l’histoire dans tout ce qu’elle a de non linéaire : l’histoire d’un homme dont le parcours résonne si fort avec l’histoire collective.
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Le réalisateur Carlos Ferrand est né à Lima (Pérou). De Lima à Bruxelles, en passant par Paris et le Vermont, il vit plusieurs années de vagabondage, plaçant le cinéma au centre de son parcours. En 40 ans de métier comme scénariste réalisateur, il a également collaboré, en tant que directeur de la photographie, à plus d’une cinquantaine d’œuvres documentaires et de fiction. Il vit à Montréal avec sa famille.
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